Sarqui et Crasqui

04/12/2011 21:21

Il est dommage que nous découvrions ces îles sous un ciel couvert. Pendant les rares éclaircies, nous apercevons les  couleurs éclatantes de l’eau qui contrastent avec le blanc des plages de sable fin.

Ici, la navigation de nuit est à proscrire car les cayes sont nombreuses. Il est nécessaire d’avoir une bonne visibilité pour ne pas s’encastrer sur les hauts-fonds.

 

A Sarqui, nous sommes entourés de deux voiliers et de deux petits yachts vénézuéliens. Cela nous change des mouillages encombrés des Petites Antilles ! Cet endroit nous encourage à avancer  et nous conforte dans l’idée d’aller plus loin pour trouver d’autres endroits authentiques comme celui-ci. Quel dommage que le tourisme de masse ait envahi une grande partie de la mer des Caraïbes ! 

 

 

A Crasqui, nous ne sommes plus que trois bateaux au mouillage. C’est à cet endroit que nous rencontrons un couple de jeunes retraités français entr’aperçu aux Canaries. Eux aussi, vont à Carthagène puis en Polynésie. Alors, il est probable que nos chemins se croisent à nouveau.

Sur ces îles des Roques, les oiseaux sont nombreux. Il est recensé plus de 80 espèces.

Les pélicans sont ici les rois, ils chassent des bancs de petits poissons que nous pouvons voir en snorkelling. Il y en a même un qui vient se reposer quelque temps sur Céramaje.

Les poissons sont aussi en grande quantité et la pêche y est facile. Le long de la barrière de corail, nous voyons de jolis poissons sous les récifs mais nous sommes surpris de voir autant de coraux morts. Les langoustes sont présentes un peu partout, mais la pêche pour les non-professionnels est interdite. Alors on peut négocier avec  les pêcheurs 3 belles langoustes contre une bouteille de rhum, soit 7 €  les trois.

 

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photos.app.goo.gl/RVRn5o243uq2gjSz5

 

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